Comme un fabuleux hasard, la première bougie inspirée de l'œuvre et la vie de Marcel Proust, passée au 45 de la rue de Courcelles, coïncide avec la célébration du centenaire de sa disparition. Elle laisse s’échapper une fragrance épicée composée de Cardamome, de Cannelle et de Fève de Tonka qui révèle l'amour de l'artiste pour les évasions romanesques et son obsession pour la mémoire affective et le temps.
La seconde rend hommage à Victor Hugo au 6 Place des Vosges. Elle se compose d'une cire cuirée, mélangeant des notes de Thym, de Cèdre, de Santal et de Patchouli invitant ceux qui l’allume à pénétrer dans un bureau aux boiseries sublimes parsemée de manuscrits raturésdécouvrant ainsi son univers à la fois poétique, romantique et engagé.
La troisième évoque Colette qui séjourna au 9 rue du Beaujolais avec des notes de Géranium, de Violette et de Papyrus. À son image, la bougie se fait indomptable et irrévérencieuse, bousculant les sens et les idées reçues. Sa fragrance recrée l’atmosphère d’une douce journée de printemps, passée à flâner dans les jardins du Palais Royal bercé par le chant des oiseaux et les clapotis de sa fontaine.