Au-delà de la frise chronologique, l’historienne du design Anne Bony livre un ouvrage thématique très documenté sur le meuble, déroulant au fil des chapitres sièges, lits, coffres ou tables, de l’Antiquité à nos jours, d’un point de vue tant anthropologique que créatif.

Deux auteurs-illustrateurs, Olivier Douzou et José Parrondo, s’improvisent naturalistes avec Forêt-wood, catalogue d’arbres remarquables imaginé pour les vingt ans des éditions du Rouergue jeunesse. De belles feuilles où l’on croise ikeanordicus, l’arbre à monter tout seul, ou sylva vartanus, l’arbre yéyé.  

Le tout nouveau musée du dessin d’architecture est une raison supplémentaire de faire le voyage à Berlin. L’édifice, réalisé par le russe Sergei Tchoban pour héberger sa propre collection, arbore une étonnante façade en béton gravé. La programmation s’annonce quant à elle prometteuse et diversifiée.

Après d’importants travaux de rénovation et d'extension confiés à l’atelier d’architecture Jean-Paul Philippon, le musée des Beaux-arts et d’archéologie vient de rouvrir ses portes...

Alors que Montréal consacre une exposition aux prémices de l’architecture conçue par ordinateur, le FRAC Centre fait un bon de vingt ans en avant pour présenter les toutes dernières avancées en la matière. « Naturaliser l’architecture », 9e édition de la manifestation ArchiLab, présente l’interaction existant entre la conception numérique et les sciences, à travers quarante travaux de jeunes concepteurs issus de différentes disciplines.

Avant le succès des vols transatlantiques, les chantiers navals battaient leur plein, mettant à la mer de véritables palaces flottant à la pointe de la modernité pour assurer la liaison entre Vieux Continent et Nouveau Monde. Parmi eux le France, icône parmi les icônes, plus grand paquebot au monde inauguré en 1962 : un concentré d’art de vivre, de créativité et de savoir-faire à la française présenté à Saint-Etienne jusqu'à fin février. 

Le Centre culturel canadien fait découvrir cette saison l’œuvre du photographe Stan Douglas. « Abandon et splendeur » évoque des paysages naturels ou urbains vidés de toute présence humaine...

Designer et architecte d’intérieur à la carrière internationale, Patricia Urquiola manie formes, couleurs et matières avec la plus grande subtilité. Elle vient de signer une collection textile pour la marque danoise Kvadrat, l’occasion pour nous de recueillir – dans un français parfait – sa vision du métier : réaliste et profondément humaine.

Le Familistère de Guise entame sa renaissance. Pour célébrer l’inauguration de sa cour centrale rénovée, la chorégraphe Annick Charlot y a mis en scène Lieu d’Etre, ballet contemporain inspiré des idées d’habitat communautaire qui ont prévalu à la construction originale et qui se retrouvent aujourd’hui au cœur des préoccupations urbaines. 

Une maison située dans un lacet, sans intimité mais dotée d’une vue splendide : comment voir sans être vu ? Réponse des architectes Alan Chu et Cristiano Kato.